Pensée du jour
Autres pensées

Félix Houphouët-Boigny
La paix, ce n’est pas un mot, c’est un comportement.
Blaise Pascal
Peu d’amitiés subsisteraient, si
chacun savait ce que son ami
dit de lui lorsqu’il n’y est pas.

James Dobson
Nous nous efforçons de donner à nos enfants tout ce qui a manqué dans notre jeunesse et nous négligeons de leur donner ce dont nous avons bénéficié.

Henry De Montherlant
Ce sont les mots qu’ils n’ont pas dits qui font si lourds les morts dans leurs cercueils

August Strindberg
Si le cheval connaissait sa force, serait-il assez fou pour accepter le joug, comme il le fait? Mais qu’il devienne sensé et s’échappe, alors on dira qu’il est fou.
Victor Hugo
Les fleurs aiment la mort, et Dieu les fait toucher .
Par leur racine aux os, par leur parfum aux âmes!

Michel de Montaigne
Les choses ne sont pas si douloureuses ni difficiles d’elles-mêmes ; mais notre faiblesse et lâcheté les font telles.

Pierre Joseph Proudhon
Agir c’est combattre.

Térence
On ne doit pas solliciter comme une faveur ce qui est dû comme une récompense

Jules Renard
Si on bâtissait la maison du bonheur, la plus grande pièce serait la salle d’attente

Marie-Jeanne Riccoboni
La timidité accompagne toujours les grandes passions.

Bouddha
Une conscience troublée par les désirs ne peut se libérer. Une sagesse troublée par l’ignorance ne peut se développer

Mike Horn
Avoir un mental cent pour cent positif, c’est le secret. La clé de toutes les victoires.

Charles Baudelaire
Le cri du sentiment est toujours absurde ; mais il est sublime, parce qu’il est absurde
Proverbes polonais
Le plus grand amour est l’amour d’une mère, vient ensuite l’amour d’un chien, puis l’amour d’un amant.

Félix Houphouët-Boigny
« Le dialogue est l’arme des forts et non des faibles, c’est l’arme de ceux qui font passer leurs problèmes généraux avant les problèmes particuliers, avant les questions d’amour propre. »

Albert Einstein
La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre.

Michel Serres
Nous somme si nombreux à nous contenter d’avancer un pied devant l’autre, sans même nous étonner de ce petit miracle matinal