Pensée du jour
Félix Houphouët-Boigny
Dans la recherche de la paix, de la vraie paix, de la paix juste et durable on ne doit pas hésiter un seul instant, à recourir, avec obstination au dialogue
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Autres pensées
Jaquinta Nicolas
Un vrai ami c’est quelqu’un qui vous fait des reproches en face et qui vous complimente dans votre dos.
Mohammed Ali
Vos mains ne peuvent frapper ce que vos yeux ne peuvent voir
Octave Mirbeau
Ne hais personne, pas même le méchant. Plains le car il ne connaitra jamais la jouissance qui console de vivre: faire le bien.
Pensée du jour
Sois assez fort pour affronter tes problèmes, assez conscient pour savoir quand tu as besoin d’aide et assez courageux pour en demander
Winston Churchill
Le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal : c’est le courage de continuer qui compte.
Bernard Werber
Allons jusqu’au bout de nos erreurs sinon nous ne saurons jamais pourquoi il ne fallait pas les commettre.
Jean-Jacques Rousseau
La seule habitude qu’on doit laisser prendre à l’enfant est de n’en contracter aucune.
Amadou Hampâté Bâ
Les hommes peuvent atteindre un but commun sans emprunter les mêmes voies
Mère Teresa
De bonnes paroles peuvent être brèves et faciles à dire mais leur écho est véritablement éternel
Maryse Condé
Pour être en paix avec soi-même, il faut s’accepter comme si l’on était le fondement, et la naissance de tout
Martin Luther King
Avoir la foi, c’est monter la première marche même quand on ne voit pas tout l’escalier
La Bruyère
Il n’y a guère au monde un plus bel excès que celui de la reconnaissance.
Winston Churchill
Le succès, c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme
Gandhi
La vieille philosophie de l’œil pour l’œil n’a jamais fait que des aveugles
Napoléon Bonaparte
Il y a plus de chances de rencontrer un bon souverain par l’hérédité que par l’élection
Baronne Bertha Kinsky von Suttner
Après le verbe aimer, aider est le plus beau verbe du monde.
Confucius
Tous les hommes pensent que le bonheur se trouve au sommet de la montagne alors qu’il réside dans la façon de la gravir.
Léopold Sédar Senghor
Au contraire de l’Européen classique, le Négro-Africain ne se distingue pas de l’objet, il ne le tient pas à distance, il ne le regarde pas, il ne l’analyse pas. Il le touche, il le palpe, il le sent.