Pensée du jour

Jorge Luis Borges
Une destinée ne vaut pas plus qu’une autre, mais tout homme doit respecter celle qu’il porte en lui.
Autres pensées

Marivaux
L’amour, pour être durable, a besoin de réciprocité, Et qu’il meurt promptement quand il n’est pas partagé

Alfred de Musset
«Ce qui vient du coeur peut s’écrire, mais non ce qui est le coeur lui-même. »

Xavier Forneret
Rien dans l’amour ne se confond et ne se distingue mieux que ceci: le Don et la Demande.

Rémy de Gourmont
Le loisir, voilà la plus grande joie et la plus belle conquête de l’homme.

Lao-Tseu
Quand la crainte ne veille pas, il arrive ce qui était à craindre

Chauvot de Beauchêne
Le temps est la seule richesse dont on puisse être avare sans déshonneur.

Williams James
La plus grande découverte de notre génération a été de s’apercevoir qu’un homme peut changer sa vie en modifiant sa façon de penser.

Mary Manin Morrissey
Tu bloques tes rêves lorsque tu laisses tes peurs grandir plus que ta foi.

Sonia Lahsaini
La Vie est une question à choix multiples.

Mère Thérésa
Nous ne saurons jamais tout le bien qu’un simple sourire peut être capable de faire.

Frantz Fanon
Cette Europe qui jamais ne cessa de parler de l’homme, jamais de proclamer qu’elle n’était inquiète que de l’homme, nous savons aujourd’hui de quelles souffrances l’humanité a payé chacune des victoires de son esprit

Proverbe persan
En voulant le superflu, on perd le nécessaire.
Sénèque
Seul l’arbre qui a subi les assauts du vent est vraiment vigoureux, car c’est dans cette lutte que ses racines, mises à l’épreuve, se fortifient.

Pensée
Vous pouvez obtenir de la vie tout ce que vous voulez si vous aidez assez de gens à obtenir ce qu’ils veulent.

Winston Churchill
Le succès, c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme

Tierno Bokar
Aimer inconditionnellement est l’activité la plus importante dans tout l’univers,
la plus apte à produire le bonheur le plus profond!
Serge Gainsbourg
Quand on n’a pas ce que l’on aime Faut aimer ce que l’on a.

Léopold Sédar Senghor
Sang ô sang noir de mes frères, vous tachez l’innocence de mes draps, vous êtes le sueur où baigne mon angoisse, vous êtes la souffrance qui enroue ma voix