Pensée du jour
Emile Chartier
La bonne humeur a quelque chose de généreux : elle donne plutôt qu’elle ne reçoit.
Autres pensées
Mère Teresa
Ce qui compte ce n’est pas ce que l’on donne, mais l’amour avec lequel on donne.
Félix Houphouët-Boigny
Il n’y aura pas de paix tant que la force paraîtra l’unique recours possible pour dénouer des situations intolérables.
Georges Wolinski
Quand on ne sait rien faire, il faut avoir de l’ambition.
Eva Sénécal
Quand l’amour est profond et vrai, il nous donne le courage de tout affronter, de tout braver ?
Amadou Hampâté Bâ
Certaines vérités ne nous paraissent invraisemblables que, tout simplement, parce que notre connaissance ne les atteint pas.
Georges Brassens
Au lieu de mettre en joue quelque vague ennemi - Mieux vaut attendre un peu qu’on le change en ami.
Cherry Blossom
Dans la vie, tu as deux choix le matin. Soit tu te recouches pour continuer à rêver. Soit tu te lèves pour réaliser tes rêves.
Pierre Bottero
N’oublie jamais, celui qui croit savoir n’apprend plus.
A Ramaiya
La vie est comme un arc-en-ciel : il lui faut à la fois de la pluie et du soleil pour que ses couleurs apparaissent.
Seydou Badian
S’ils en existent qui ne rêvent que d’être Blancs, l’avenir se chargera de leur faire comprendre que le séjour dans l’eau ne transforme pas un tronc d’arbre en crocodile
Sénèque
La vie est une pièce de théâtre, ce qui compte ce n’est pas qu’elle dure longtemps, mais qu’elle soit bien jouée.
Nicolae Iorga
La justice peut marcher toute seule ; l’injustice a besoin de béquilles, d’arguments.
Ziad Abdelnour
Cherche le respect, pas l’attention. Cela dure plus longtemps
Vaclav Havel
L’indépendance n’est pas un état de choses. C’est un devoir.
Jan Carlzon
Le plus important n’est pas le but lui-même, c’est de se battre pour l’atteindre.
Honoré de Balzac
"La destinée de la femme et sa seule gloire sont de faire battre le coeur des hommes."
Marguerite Yourcenar
Il ne faut pas pleurer pour ce qui n’est plus mais être heureux pour ce qui a été.
Patrice E. Lumumba
Nous avons connu les ironies, les insultes, les coups que nous devions subir matin, midi et soir, parce que nous étions des nègres. Qui oubliera qu’à un noir on disait tu, non certes comme à un ami, mais parce que le vous honorable était réservé aux seuls blancs ?