Pensée du jour

Honoré de Balzac
L'insouciance est l'art de se balancer dans la vie comme sur une escarpolette, sans s'inquiéter du moment où la corde cassera.
Autres pensées

Luis Fernandez
En compétition, on séduit par l’efficacité, pas par le charme.

Mahmûd Shabestarî
L’année à venir n’existe pas. Nous ne possédons que le petit instant présent.

Daisku Ikeda
L’important est de faire le premier pas. Surmonter bravement une petite peur te donnera le courage d’affronter la suivante.

Khalil Gibran
Ce n’est que lorsque tu es poursuivi que tu deviens agile.

Jacques-Bénigne Bossuet
Ce qui est hasard à l’égard des hommes est dessein à l’égard de Dieu.

Proverbe chinois
De même que le fleuve retourne à la mer, le don de l’homme revient vers lui.

Mère Teresa
Pour répandre la joie, il est nécessaire
d’avoir de la joie dans sa propre famille.

Katherine Pancol
J’ai compris que le bonheur, ce n’est pas vivre une petite vie sans embrouilles, sans erreurs et sans bouger. Le bonheur, c’est accepter la lutte, l’effort, le doute, et d’avancer, d’avancer en franchissant chaque obstacle.

Georg Christoph Lichtenberg
L’amour est aveugle, mais le mariage lui rend la vue.

Victor Hugo
La misère d’un enfant intéresse une mère, la misère d’un jeune homme intéresse une jeune fille, la misère d’un vieillard n’intéresse personne

Sylvain Tesson
La mer : un cœur qui bat entre deux côtes

Paulo Coelho
L’âge ne fait perdre le rythme qu’à ceux qui n’ont jamais eu le courage d’avancer tout seuls.

Jean-Paul Sartre
Il faut affirmer si nous voulons comprendre, et nous donner si nous voulons sentir.

Seydou Badian
S’ils en existent qui ne rêvent que d’être Blancs, l’avenir se chargera de leur faire comprendre que le séjour dans l’eau ne transforme pas un tronc d’arbre en crocodile

Paulo Coelho
Il n’y a qu’une façon d’apprendre, c’est par l’action.

Amadou Hampâté Ba
Le savoir est l’unique fortune que l’on peut entièrement donner sans rien la diminuer

Saint Augustin
Il vaut mieux suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d’un pas ferme.
Mongo Béti
La nature elle-même, eût-on dit, avait décidé d’isoler le chef sur l’île déjà désolée de sa maladie, lui qui avait toujours vécu dans un nombreux entourage, le couper pour ainsi dire du continent des vivants, le livrer corps et âme à la mort, son ravisseur