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Pensée du jour

Howard Martin

Vous écrivez l’histoire de votre vie un moment à la fois.

Autres pensées

Molière Il le faut avouer, l’amour est un grand maître; Ce qu’on ne fut jamais, il vous enseigne à l’être.
Pierre Doris Tolérance : c’est quand on connaît des cons et qu’on ne dit pas les noms.
Aké Loba La poule bien qu’elle ait le bec étroit, mange bien, boit à sa soif.
Emmanuel Kant « On mesure l’intelligence d’un individu à la quantité d’incertitudes qu’il est capable de supporter. »
Henry Ford Se réunir est un début, rester ensemble est un progrès, travailler ensemble est la réussite.
Massa Makan Diabaté Il faut avoir la force de sa raison et non la raison de sa force
Dan Millman Le secret du changement consiste à concentrer son énergie pour créer du nouveau, et non pas pour se battre contre l’ancien
Albert Einstein Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.
Martin Luther King Ce qui m’effraie, ce n’est pas l’oppression des méchants ; c’est l’indifférence des bons
Seze Seko Mobutu Celui qui, au milieu d’une grande rivière, renverse son canoë est un fou.
Alfred Capus Vouloir arriver, c’est avoir déjà fait la moitié du chemin.
Félix Houphouët-Boigny Notre combat n’est pas terminé, il ne sera jamais terminé. Le vrai combat demeure, c’est le combat pour la paix.
Proverbe africain Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin
Raoul Vaneigem La passion de créer fonde le projet de réalisation, la passion d’aimer fonde le projet de communication, la passion de jouer fonde le projet de participation. Dissociés, ces trois projets renforcent l’unité répressive du pouvoir
Coluche Dans la vie, y’a pas de grands, y’a pas de petits. La bonne longueur pour les jambes, c’est quand les pieds touchent par terre.
Bernard Werber L’équilibre est à mi-chemin entre les deux extrêmes.
Félix Houphouët-Boigny Il n’y aura pas de paix tant que la force paraîtra l’unique recours possible pour dénouer des situations intolérables.
Léopold Sédar Senghor Au contraire de l’Européen classique, le Négro-Africain ne se distingue pas de l’objet, il ne le tient pas à distance, il ne le regarde pas, il ne l’analyse pas. Il le touche, il le palpe, il le sent.
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