Pensée du jour
Autres pensées
William Shakespeare
L’esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l’amitié le console.

Michel-Ange
Je reste seul à me consumer dans le noir - quand le soleil dérobe au monde sa lumière - D’autres, c’est par plaisir qu’ils s’étendent à terre, - moi, c’est dans mon malheur pour gémir et pleurer.

A Ramaiya
La vie est comme un arc-en-ciel : il lui faut à la fois de la pluie et du soleil pour que ses couleurs apparaissent.

Confucius
On a deux vies. La deuxième commence le jour où on réalise qu’on en a juste une.

Bernard Werber
Dans la vie, il y a trois facteurs : le talent, la chance, le travail. Avec deux de ces facteurs, on peut réussir. Mais l’idéal est de disposer des trois.
Paulo Coelho
Le monde trouvera sa vérité quand l’homme saura aimer - jusque-là, nous vivons en pensant que nous connaissons l’amour, mais sans avoir le courage de l’affronter tel qu’il est.

Fidel Castro
Sans le pouvoir, les idéaux ne peuvent être réalisés; avec le pouvoir, ils survivent rarement.

Walter Bagehot
Le plus grand plaisir de la vie est de réaliser ce que les autres vous pensent incapable de réaliser.

Xavier Forneret
Rien dans l’amour ne se confond et ne se distingue mieux que ceci: le Don et la Demande.

Khalil Gibran
L’âme est notre demeure, nos yeux sont ses fenêtres, et nos lèvres ses messagers.

Bob Marley
Je crois en la liberté pour tout le monde, pas seulement pour l’homme noir

Saint Augustin
Quand l’amour grandit en toi, la beauté fait de même. Car l’amour est la beauté de l’âme.

Saint Augustin
Il faut rétablir ou conserver la paix avec la paix et non avec la guerre

Emmanuel Kant
L’inhumanité infligée à l’autre détruit l’humanité en moi

M.S
Nul ne peut remplacer une maman , elle est un trésor du ciel.
Bonne fête des mères à toutes les femmes!!

Bernard Werber
Dans la vie, il y a trois facteurs : le talent, la chance, le travail. Avec deux de ces facteurs, on peut réussir. Mais l’idéal est de disposer des trois.
Massa Makan Diabaté
La vertu triomphe toujours de la misère.

Abdoulaye Sadji
Sans doute s’étaient-ils assuré une existence paisible, mais au prix d’une répétition inlassable des mêmes gestes, au prix de la même insupportable régularité