Pensée du jour

William Shakespeare
Les hommes doivent souffrir leur départ comme leur venue ici-bas ; le tout est d’être prêt
Autres pensées

Mao Tsé-Toung
C’est quand la merde et le pet sont sortis que le ventre est soulagé !

Nelson Mandela
Tous les hommes, même ceux qui sont apparemment les plus inacessibles à la pitié, ont toujours un fond de bonté : si on arrive à toucher leur coeur, il est possible de les faire changer.

Romain Guilleaumes
Choisis tes amis avec soin, ils seront les parfums de ton chemin de vie

Albert Camus
Il n’y a de dignité du travail que dans le travail librement accepté.

Aurélien Scholl
Ne frappez jamais une femme. Elle en prendrait vite l’habitude et cela deviendrait fatigant.

Alphonse Allais
C’est parce que la fortune vient en dormant qu’elle arrive si lentement

Félix Houphouët-Boigny
Ce que veut l’Ivoirien, c’est le partage de la richesse et non de la misère. Et pour ce faire, il doit, avant tout, contribuer à créer ces richesses

Haile Selassie
Tant que la couleur de la peau sera plus importante que celle des yeux, nous ne connaîtrons pas la paix.
Duc de Lévis
La crainte et l’espérance se partagent la vie ; le plaisir et la douleur n’occupent que des moments

Sénèque
On a des mots pour dire une peine légère, mais les grandes douleurs ne savent que se taire.
Jean-Paul II
Marie est celle qui connaît le plus à fond le mystère de la miséricorde divine.

Luchino Visconti
“ La famille : une sorte de destin auquel il est impossible d’échapper. ”

Mathurin Régnier
L’effort fait plus que le mérite.

Vaclav Havel
L’indépendance n’est pas un état de choses. C’est un devoir.

Rainer Maria Rilke
C’est le miracle qui se produit à chaque fois pour ceux qui aiment vraiment, plus ils donnent, plus ils possèdent

Montaigne
Si la vie n’est qu’un passage, sur ce passage au moins, semons des fleurs.

Félix Houphouët-Boigny
« Il n’y aura pas de paix tant que la force paraîtra l’unique recours possible pour dénouer des situations intolérables. »

Patrice E. Lumumba
Nous avons connu les ironies, les insultes, les coups que nous devions subir matin, midi et soir, parce que nous étions des nègres. Qui oubliera qu’à un noir on disait tu, non certes comme à un ami, mais parce que le vous honorable était réservé aux seuls blancs ?