Pensée du jour
Fatou Diome
Le sentiment d’appartenance est une conviction intime qui va de soi ; l’imposer à quelqu’un, c’est nier son aptitude à se définir librement.
Réagir à la pensée
Autres pensées
Pierre Schori
L’échec en Côte d’Ivoire est dû aux leaders de ce pays
Proverbe
Alors que nous essayons d’enseigner la vie à nos enfants, nos enfants nous montrent ce qu’est la vie.
Woody Allen
L’avantage d’être intelligent, c’est qu’on peut toujours faire l’imbécile, alors que l’inverse est totalement impossible.
Léon Tolstoï
Chacun rêve de changer l’humanité, mais personne ne pense à se changer lui-même.
Albert Einstein
La personnalité créatrice doit penser et juger par elle-même car le progrès moral de la société dépend exclusivement de son indépendance
Proverbe persan
La tranquillité de deux mondes repose sur ces deux mots: bienveillance envers les amis, tolérance à l'égard des ennemis.
Joshua Graham
J’ai survécu car le feu en moi brûle plus intensément que le feu autour de moi
Marcel Pagnol
On devient vieux quand les jeunes nous abandonnent.
John L. Mason
Les échecs et les erreurs sont un pont vers la réussite et non pas un obstacle.
Grasset (Bernard)
Dans les affaires, comme en amour, il est un moment où l’on doit s’abandonner.
Blaise Pascal
Le temps guérit les douleurs et les querelles parce qu’on change, on n’est plus la même personne.
Frère Christian Rosencreutz
La plus haute science est de ne rien savoir
Nicolas Massias
La bonté est la lumière du cœur et de l’esprit, elle s’éteint dans la sottise, comme dans un air privé d’oxygène.
Alessandro Manzoni
Un des grands bonheurs de cette vie, c’est l’amitié; et l’un des bonheurs de l’amitié, c’est d’avoir à qui confier un secret
SUN TZU
Planifier sans agir est futile, Agir sans planifier est fatale
Steve Biko
L’arme la plus puissante entre les mains de l’oppresseur est l’esprit de l’opprimé.
Georges Brassens
Au lieu de mettre en joue quelque vague ennemi - Mieux vaut attendre un peu qu’on le change en ami.
Patrice Emery Lumumba
Mort, vivant, libre ou en prison sur ordre des colonialistes, ce n’est pas ma personne qui compte. C’est le Congo, c’est notre pauvre peuple dont on a transformé l’indépendance en une cage d’où l’on nous regarde du dehors, tantôt avec cette compassion bénévole, tantôt avec joie et plaisir.