La gouverne des autres, c’est la mort. Vivre, c’est travailler pour soi

Démocratie Celui qui commet l’injustice est plus malheureux que celui qui la subit.

Félix Houphouët-Boigny Nous n’avons qu’un objet de haine : la guerre, qu’une seule obsession : la paix, la paix des coeurs, la paix sociale, la paix entre les Nations

Nicolas Machiavel Il y a deux manières de combattre, l’une avec les lois, l’autre avec la force. La première est propre aux hommes, l’autre nous est commune avec les bêtes.

Pierre Choderlos de Laclos "L’amour abrutit ceux qu’il domine."

Ingrid Bergman Un baiser est un tour délicieux conçu par la nature pour couper la parole quand les mots deviennent superflus.

Dalai Lama Sème un acte, tu récolteras une habitude ; sème une habitude, tu récolteras un caractère ; sème un caractère, tu récolteras une destinée

Christophe Colomb Rien de ce qui résulte du progrès humain ne s’obtient avec l’assentiment de tous, et ceux qui aperçoivent la lumière avant les autres sont condamnés à la poursuivre en dépit des autres

René Barjavel On ne quitte pas une maison qu’on trouve sale. On la nettoie.

Pierre Dac En montant un escalier, on est toujours plus fatigué à la fin qu’au début. Dans ces conditions, pourquoi ne pas commencer l’ascension par les dernières marches et la terminer par la première.

Proverbe allemand Où le travail barricade la maison, la pauvreté ne peut y entrer

Proust La lecture est au seuil de la vie spirituelle ; elle peut nous y introduire : elle ne la constitue pas.

Sénèque La conscience d’avoir bien agi est une récompense en soi.

Jacques Salomé Osez, car le possible est toujours un tout petit pas … après l’impossible.

Jorge Luis Borges Une destinée ne vaut pas plus qu’une autre, mais tout homme doit respecter celle qu’il porte en lui.

Theocrite A force de tomber, une goutte d’eau creuse le roc.

Mère Teresa Il y a des maladies qui ne se guérissent pas avec de l’argent, mais avec de l’amour.

Nicolas Machiavel Les hommes ne savent être ni entièrement bon, ni entièrement mauvais.

Pablo Neruda Pour les rendre humains, les sculpteurs les ont dotés de plaies horripilantes et tout s’est transformé en religion du supplice, en pèche et souffre, ne pèche pas et souffre quand même, vis et souffre, sans que tu puisses trouver d’issue libératrice...